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Depuis 2020, les cinq hommes les plus riches du monde ont doublé leur fortune. Au cours de la même période, près de cinq milliards de personnes se sont appauvries. Les conditions de vie difficiles et la faim sont une réalité quotidienne pour de nombreuses personnes à travers le monde. Depuis 2020, les cinq hommes les plus riches du monde ont doublé leur fortune. Au cours de la même période, près de cinq milliards de personnes se sont appauvries. Les conditions de vie difficiles et la faim sont une réalité quotidienne pour de nombreuses personnes à travers le monde.

Le 26 juillet 2023, le Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP) annonçait avoir renversé le Président en exercice Mohamed Bazoum et son gouvernement. La réaction d’une partie de la communauté internationale s’est traduite par un certain nombre de sanctions individuelles et collectives

Il y a 16 mois, l’escalade du conflit en Ukraine a provoqué un déplacement massif de population, sans précédent en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale. Face à l’ampleur de la crise, Oxfam a rapidement décidé de se mobiliser pour apporter son soutien en mettant en place une intervention humanitaire pilotée par des organisations de la société civile locale présente sur le terrain. Entre mars 2022 et février 2023, nous avons fourni ensemble une aide humanitaire vitale à plus de 1,1 million de personnes en Ukraine, en Pologne, en Roumanie et au Moldavie.

L’indice de l’engagement à la réduction des inégalités (ERI) 2022 est la première analyse détaillée publiée portant sur les politiques et les actions des gouvernements pour lutter contre les inégalités au cours des deux premières années de la pandémie. Cette analyse passe en revue les politiques et actions de 161 gouvernements en matière de dépenses, de fiscalité et de travail sur la période 2020-2022.

Le monde est entré dans une nouvelle ère dangereuse, marquée par les impacts du changement climatique. Or, le financement de la réponse humanitaire d’urgence est parcellaire et insuffisant, tout comme le soutien plus large déployé pour faire face aux pertes et dommages subis par les pays les plus pauvres.

Les inégalités, déjà extrêmes avant la COVID-19, ont atteint des niveaux sans précédent. Les États doivent de toute urgence mettre en œuvre des mesures fiscales ambitieuses ciblant les plus riches qui permettront d'investir dans des mesures fortes pour réduire les inégalités.

Un peu plus d’une décennie après qu'une famine dévastatrice a coûté la vie à plus de 250 000 personnes en Somalie, près de 500 000 personnes vivent désormais dans des conditions proches de la famine en Afrique de l'Est. Une fois de plus, alors que la sonnette d’alarme a été tirée à plusieurs reprises ces deux dernières années, nous réagissons trop tard et avec trop peu de moyens pour éviter la crise.

La pandémie de COVID-19 a aggravé les inégalités extrêmes dans les pays de la Communauté de développement d’Afrique australe et précipité des millions de personnes dans la pauvreté. La sortie de la pandémie offre toutefois aux gouvernements de la SADC une occasion qui ne se présente qu’une fois par génération de réduire radicalement les inégalités et éliminer l’extrême pauvreté d’ici 2030.

Oxfam fait partie du mouvement mondial du commerce équitable depuis sa création. Nous pensons que le système commercial actuel est loin d'être juste ou durable. La justice commerciale offre une approche alternative. Elle exige une responsabilité partagée, tient compte des privilèges historiques et prône un changement systémique dans les domaines économique, climatique, politique et de genre.

Oxfam en Ouganda reconnaît le besoin d'un accès équitable aux vaccins et à des services de santé abordables pour toutes et tous, notamment pour les personnes réfugiées et demandeuses d'asile. Veiller à la disponibilité des vaccins contre la COVID-19 pour les personnes réfugiées est essentiel dans la lutte contre la pandémie en Ouganda. C'est pourquoi il est important d'identifier les barrières auxquelles les réfugié·es font face en matière d'accès au vaccin et d'y remédier.

L’augmentation des inégalités fragmentent notre monde. Ceci n’est pas le fruit du hasard, mais de décisions politiques délibérées. Nous pouvons repenser nos économies de façon radicale afin de faire de l’égalité notre priorité. Nous pouvons construire une économie dans laquelle personne ne vit dans la pauvreté, dans laquelle les inégalités ne tuent plus.

Ce rapport propose des actions concrètes pour renforcer la place des acteurs locaux et éventuellement le leadership humanitaire local dans la réponse au Burkina Faso, afin qu'elle soit plus adaptée aux besoins, plus rapide et durable, et réponde au changement de réalité imposé par l’augmentation des violences, tout en maintenant les populations au centre de la réponse.

Les violences basées sur le genre constituent une autre pandémie qui touche tous les groupes sociaux, dans le monde entier. Elles ont pourtant été en grande partie omises des plans de réponse à la Covid-19 et des plans de reprise.Les obstacles à la justice de genre persistent, mais les progrès réalisés depuis le lancement de la campagne de 16 jours d’action contre les violences basées sur le genre prouvent que des solutions existent.

Les discours dominants promouvant la croissance économique aux dépens des institutions publiques et des services sociaux essentiels étayent depuis longtemps un modèle néolibéral d’endettement et d’austérité galopants dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord. Ce modèle exacerbe la capture politique et les inégalités et prend forme dans un contexte de concentration des médias et de contraction de l’espace civique.

D’ici à 2030, les 1 % les plus riches représenteront une part encore plus importante des émissions mondiales de CO2 qu’au moment de la signature de l’Accord de Paris. S’attaquer aux inégalités extrêmes et identifier les émissions excessives liées à la consommation et aux investissements des personnes les plus riches du monde est crucial pour maintenir l’objectif de 1,5°C.

La pandémie de Covid-19 a aggravé l’ampleur des inégalités en Afrique de l’Ouest et précipité des millions de personnes dans la pauvreté. Elle offre cependant aux gouvernements ouest-africains une opportunité unique d’investir massivement dans des politiques de lutte contre les inégalités en augmentant les dépenses publiques, en rendant les systèmes fiscaux plus progressifs et en luttant contre le chômage et le travail précaire.

De nombreux gouvernements et entreprises adoptent des objectifs climatiques « zéro émission nette » face à l’urgence de la crise climatique. Mais sans définition claire, ces objectifs risquent de reposer sur l’utilisation de vastes étendues de terres dans les pays à faible revenu pour capturer les émissions de carbone et éviter ainsi aux plus grands émetteurs de réduire considérablement leurs propres émissions.